IMAGE PME : 3e trimestre 2024 - Occitanie

Votre cabinet vous présente les résultats de l’Observatoire Image PME pour le 3ᵉ trimestre 2024 en Occitanie, publié par l’Ordre des Experts-Comptables.

L'analyse de l'évolution trimestrielle de l'activité des TPE-PME

  • Au 3e trimestre 2024, l’indice de chiffre d’affaires (ICA) des 65 000 TPE-PME d’Occitanie de notre échantillon est de 99,4, soit une baisse de 0,6% en valeur du chiffre d’affaires (CA) par rapport au 3e trimestre 2023. Il s’agit du quatrième trimestre consécutif de baisse d’activité pour les entreprises de la région. Cette performance les place de nouveau au 11e rang du classement national, avec un résultat inférieur de 0,7 point à la moyenne française (+0,1%). L’indice de chiffre d’affaires cumulé (ICAC) indique un recul de CA de 0,8% depuis le début de l’année.
  • Il convient également de noter que les résultats présentés dans cette analyse ne sont pas corrigés de l’inflation qui a progressé significativement depuis la fin de l’année 2021. En effet, selon les résultats de l’INSEE, l’indice des prix à la consommation a augmenté de 1,1% en septembre 2024 sur les 12 derniers mois. La hausse des prix poursuit donc sa décélération. Cette diminution de l’inflation s’explique par la baisse des prix de l’énergie et le ralentissement de ceux des services.

 – 0,8 %

de baisse cumulée de CA sur la période du 1er au 3e trimestre 2024 par rapport à la période du 1er au 3e trimestre 2023

La carte de la région

L'évolution de l'activité trimestrielle par département

  • Lors du 3e trimestre 2024, quatre départements ont vu leur CA croître et neuf diminuer.
  • Les entreprises de l’Aveyron affichent la plus fort augmentation (+1,7%) suivies de celles de Lozère (+0,3%), du Tarn-et-Garonne (+0,3%) et du Gard (+0,2%).
  • Les structures des Pyrénées-Orientales (-0,1%), de Haute-Garonne (-0,2%), du Lot (-0,3%) et des Hautes-Pyrénées (-0,6%) affichent des baisses inférieures ou égales à la moyenne de la région.
  • Celles de l’Hérault (-1,3%), du Tarn (-1,4%), du Gers (-2%), de l’Ariège (-2,3%) et de l’Aude (-3,1%) enregistrent les plus fortes réductions.

*L’indice de chiffre d’affaires (ICA) mesure l’évolution du CA moyen par entreprise entre une période (ici un trimestre) et la même période de l’année précédente, avec correction des jours ouvrés. **L’indice de chiffre d’affaires cumulé (ICAC) mesure l’évolution du CA moyen par entreprise de la période du 1er trimestre de l’année N au dernier trimestre présenté de l’année N, par rapport au CA moyen par entreprise de la même période de l’année N-1, avec correction des jours ouvrés.

L'évolution de l'activité par secteur

Boulangerie et boulangerie-pâtisserie (10.71C)

Pour le huitième trimestre consécutif, les 638 TPE-PME de boulangerie-pâtisserie de notre échantillon affichent une croissance de CA : +4,7% en valeur au 3e trimestre en glissement annuel. En cumulé depuis le début d’année, la hausse est de 2,6%. Le secteur reste concurrentiel entre les boulangeries-pâtisseries artisanales, les boulangeries industrielles qui se développent et les offres attractives des grandes surfaces alimentaires qui tentent de répondre à la baisse de pouvoir d’achat des ménages. Le segment de la restauration salée constitue toutefois un relais de croissance. Certaines structures s’orientent également vers des segments plus haut de gamme. Par ailleurs, selon le baromètre ISM-MAAF, le nombre d’apprentis tend à diminuer, posant la question de l’attractivité de la filière.

+ 2,6 %

de hausse cumulée de CA sur la période du 1er au 3e trimestre 2024 par rapport à la période du 1er au 3e trimestre 2023

Construction (F)

L’activité des 10 078 TPE-PME de la construction de l’échantillon se réduit pour le cinquième trimestre consécutif : -4,5% en valeur au 3e trimestre 2024. En cumulé depuis le début d’année, la baisse de CA atteint 5,5%. La FFB maintient ses prévisions pessimistes pour l’année 2024 avec une crise du logement neuf qui ne se dément pas. Les mises en chantier chutent de plus de 13% entre janvier et juillet et les permis de construire reculent de près de 10% sur la même période. La croissance de l’activité d’amélioration entretien poursuit sa décélération (+1,1% entre les 2e trimestres 2023 et 2024). La CAPEB confirme la tendance morose avec une recul d’activité de 5% en glissement annuel dans sa note de conjoncture du 3e trimestre 2024. L’activité entretien-amélioration recule de 1%. En parallèle, l’activité en amélioration de la performance énergétique des logements diminue également de 0,5% ce trimestre. La trésorerie des entreprises est impactée en lien avec la baisse de l’activité et l’allongement des délais de paiement des clients.

– 5,5 %

de baisse cumulée de CA sur la période du 1er au 3e trimestre 2024 par rapport à la période du 1er au 3e trimestre 2023

Travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (43.99C)

Les 1 984 structures de maçonnerie l’échantillon voient leur activité reculer pour le quatrième trimestre consécutif : -6,2% au 3e trimestre et -7,1% en cumulé depuis le début d’année. La CAPEB confirme que ce corps de métier reste le plus touché, avec un recul du volume d’activité estimé à 6% au 3e trimestre. Il pâtit toujours du fort ralentissement de la construction neuve. En effet, la baisse des autorisations et des mises en chantier se poursuit et elle est particulièrement marquée pour les logements individuels purs. Si des signes de résilience apparaissent (baisse des taux, des prix des logements anciens, …), le nombre de transactions reste en forte baisse sur un an : 783 000 ventes entre août 2023 et juillet 2024 soit -20% sur un an. Altares confirme les difficultés dans son étude sur les défaillances du 3e trimestre 2024, la maçonnerie connaît une hausse de 36% en glissement annuel (contre 26% pour l’ensemble de la construction).

– 7,1 %

de baisse cumulée de CA sur la période du 1er au 3e trimestre 2024 par rapport à la période du 1er au 3e trimestre 2023

Commerce de voitures et de véhicules automobiles légers (45.11Z)

L’activité des 442 commerces de voitures et véhicules légers de notre échantillon reste en dents de scie : +0,4% au 3e trimestre après la baisse de 3,6% du 2e trimestre et la hausse de 1,8% du 1er trimestre. En cumulé depuis le début d’année, le CA recule de 0,1%. Selon le dernier rapport PFA réalisé à partir des données compilées de « AAA Data », les immatriculations de voitures particulières neuves ont diminué de 11,1% en septembre 2024 en glissement annuel. Cette baisse s’élève à 15,2% pour celles des véhicules utilitaires légers neufs durant la période. Selon PFA, la baisse du marché de l’automobile en 2024 s’explique par une comparaison défavorable par rapport à 2023, mais aussi par un essoufflement du marché de véhicules électriques. Selon Xerfi, les difficultés du marché automobile se poursuivront en raison de l’instabilité politique, d’un comportement attentiste des ménages et des prix élevés. Les distributeurs bénéficieront toutefois d’une hausse des ventes de véhicules hybrides rechargeables ainsi que des véhicules d’occasion.

– 0,1 %

de baisse cumulée de CA sur la période du 1er au 3e trimestre 2024 par rapport à la période du 1er au 3e trimestre 2023

Entretien et réparation de véhicules automobiles légers (45.20A)

Nouveau trimestre de croissance pour les 1 426 TPE-PME d’entretien et réparation de véhicules automobiles légers de l’échantillon : +4,6% au 3e trimestre. En cumulé depuis le début d’année, la hausse atteint 4,8%. Selon le baromètre Mobilians-Solware, le CA reste porté par l’augmentation des prix liée à la hausse du coût des pièces mais aussi par la hausse des salaires. Selon Xerfi, le vieillissement du parc automobile et l’essor du leasing qui entraînent de plus fréquentes visites chez les professionnels, constituent des moteurs de croissance pour les entreprises du secteur. Par ailleurs, l’introduction de voitures plus modernes, équipées de dispositifs d’aides électroniques et de moteurs électriques, devrait entraîner une légère augmentation du chiffre d’affaires pour les garages d’ici 2030 selon une étude réalisée par le cabinet TCG Conseil pour Mobilians.

+ 4,8 %

de hausse cumulée de CA sur la période du 1er au 3e trimestre 2024 par rapport à la période du 1er au 3e trimestre 2023

Commerce de détail de produits pharmaceutiques en magasin spécialisé (47.73Z)

Les 809 pharmacies de l’échantillon voient leur CA progresser pour le sixième trimestre consécutif : +6,1% par rapport au 3e trimestre 2023 et +5,3% en cumulé sur les trois premiers trimestres de l’année. Toutefois, les signes d’inquiétude sont présents. Une enquête de la Fédération des pharmaciens d’officine réalisée auprès de plus de 2 600 structures révèle des difficultés de trésorerie : 20% d’entre elles présentent un bilan négatif avec une part qui monte à 40% pour les jeunes installés (moins de 2 ans d’ancienneté). 73% des répondants indiquent que leur trésorerie a diminué sur la dernière année et 20% ont déclaré une trésorerie négative, soit 8 points de plus en un an. L’Union des syndicats de pharmaciens d’officine fait état d’une érosion du taux de marge brute de 5% en 2023, qui passe sous la barre des 30%, résultat confirmé par les données Image PME provenant des liasses fiscales 2023.

+ 5,3 %

de hausse cumulée de CA sur la période du 1er au 3e trimestre 2024 par rapport à la période du 1er au 3e trimestre 2023

Transports et entreposage (H)

Les 1 423 TPE-PME des transports et de l’entreposage de l’échantillon enregistrent un deuxième trimestre consécutif de croissance : +3% en valeur au 3e trimestre 2024. L’activité progresse de 0,1% en cumulé depuis le début d’année. Selon la Fédération nationale du transport routier, l’activité au 3e trimestre a stagné par rapport au précédent trimestre et devrait continuer de rester à un niveau bas jusqu’à la fin d’année. Elle indique également que les effectifs salariés ont diminué lors du 3e trimestre 2024 et continueront de baisser au 4e trimestre 2024, par rapport aux trimestres précédents. De plus, près de la moitié des entreprises du secteur rencontrent des difficultés de recrutement, d’après l’enquête de l’INSEE réalisée en juillet 2024.

+ 0,1 %

de hausse cumulée de CA sur la période du 1er au 3e trimestre 2024 par rapport à la période du 1er au 3e trimestre 2023

Hébergement et restauration (I)

Les 5 577 structures de l’hébergement et restauration affichent un repli de 5,2% de leur activité au cours du 3e trimestre 2024, en glissement annuel. En cumulé depuis le début d’année, le CA recule de 2,6%. En effet, malgré la tenue des Jeux Olympiques, la fréquentation touristique de la saison estivale 2024 a reculé de 1% par rapport à la saison 2023, soit 2,5 millions de nuitées en moins au sein des hébergements collectifs selon l’INSEE (il est à noter que ces chiffres concernent la période de mai à août, tous hébergements confondus). Tendance confirmée par Atout France avec une moindre fréquentation des hébergements collectifs marchands en juillet août. Par ailleurs, les considérations budgétaires sont la première raison de non-départ, pour 36% des non partants. D’autres opèrent des arbitrages. Ainsi, 27% des Français déclarent être moins allés au restaurant cette année.

– 2,6 %

de baisse cumulée de CA sur la période du 1er au 3e trimestre 2024 par rapport à la période du 1er au 3e trimestre 2023

Restauration traditionnelle (56.10A)

Les 2 511 restaurants traditionnels de l’échantillon voient leur CA se réduire pour le deuxième trimestre consécutif : -6,6% au 3e trimestre et -3,7% en cumulé depuis le début d’année. Selon la 20e Revue stratégique de Food Service Vision rendue publique mi septembre, les performances du secteur ont été décevantes (malgré l’effet JO). Les conditions météorologiques défavorables et le contexte politique, qui a généré un réflexe attentiste des consommateurs, ont eu un impact négatif pour les entreprises du secteur. En outre, les difficultés sur le pouvoir d’achat continuent de peser sur le secteur : selon Atout France, 27% des Français déclarent être moins allés au restaurant cette année.

– 3,7 %

de baisse cumulée de CA sur la période du 1er au 3e trimestre 2024 par rapport à la période du 1er au 3e trimestre 2023

Restauration de type rapide (56.10C)

Lors du 3e trimestre 2024, les 1 150 professionnels de la restauration rapide de l’échantillon affichent une diminution de CA de 3,1% en valeur par rapport à la même période de l’année précédente. En cumulé depuis le début d’année, la baisse est de 0,3%. Les conditions météorologiques défavorables depuis le début de l’année 2024 et les tensions sur le pouvoir d’achat ont eu un impact négatif pour les entreprises du secteur. De plus, le bilan trimestriel Altares indique que le nombre de défaillances a augmenté de 26% au 3e trimestre 2024 par rapport à l’année précédente. Cependant, l’élargissement de l’offre avec des produits sucrés tels que les doughnuts, les cookies ou les bubble tea, segments en pleine expansion, pourraient constituer des moteurs de croissance pour les entreprises du secteur.

– 0,3 %

de baisse cumulée de CA sur la période du 1er au 3e trimestre 2024 par rapport à la période du 1er au 3e trimestre 2023

Agences immobilières (68.31Z)

Les 1 226 agences immobilières de l’échantillon enregistrent, comme depuis le 1er trimestre 2023, un recul d’activité : -5,5% en valeur au 3e trimestre 2024 en glissement annuel. Sur les trois premiers trimestres de l’année, l’activité se replie de 12,6%. La chute des ventes de logements pèse lourdement sur le secteur immobilier : 783 000 ventes entre août 2023 et juillet 2024 soit -20% sur un an. Le nombre de défaillances poursuit sa hausse : +30% au 3e trimestre en glissement annuel selon l’étude Altares du 3e trimestre 2024. Mais la baisse des taux de crédit immobilier semble se poursuivre, passant sous la barre des 3,6% selon l’Observatoire Crédit Logement. De son côté, la FNAIM prévoit, dans sa note de conjoncture de septembre 2024, un palier de stabilisation des ventes à un niveau bas, d’ici la fin d’année 2024.

– 12,6 %

de baisse cumulée de CA sur la période du 1er au 3e trimestre 2024 par rapport à la période du 1er au 3e trimestre 2023

Coiffure (96.02A)

Les 1 514 entreprises de coiffure de l’échantillon enregistrent une légère croissance au cours du 3e trimestre 2024 (+0,1% en valeur). En cumulé depuis le début d’année, le CA affiche une hausse de 1,7%. Mais l’activité reste pénalisée par les tensions sur le pouvoir d’achat des clients, qui tendent à réduire leurs dépenses et espacer leurs visites. Le développement du « Do it yourself » constitue également un frein à l’activité des salons de coiffure. En atteste le développement des ventes des tondeuses ou des produits de coloration comme le révèlent les données Insee / Xerfi publiées dans l’étude Skema Conseil de février 2024. Pour faire face à ces évolutions, les coiffeurs diversifient leurs offres : prestations plus haut de gamme, services spécialisés (services « barbiers » pour répondre à la hausse de la demande masculine, lissage brésilien…).

– 1,7 %

de hausse cumulée de CA sur la période du 1er au 3e trimestre 2024 par rapport à la période du 1er au 3e trimestre 2023

Sources & méthodologie

Les données proviennent de la base de données Statexpert, construite à partir des télédéclarations sociales et fiscales réalisées par les experts-comptables pour le compte de leurs clients, les TPE-PME. Les données présentées ici sont issues des informations provenant des déclarations mensuelles et trimestrielles de TVA (EDI-TVA). Il s’agit du chiffre d’affaires (CA) déclaré par les entreprises sur les déclarations de TVA des périodes concernées.

Les données trimestrielles sont basées sur un échantillon d’environ 65 000 entreprises au niveau régional. Les données ont été calculées sur un périmètre d’entreprises présentes lors d’une période analysée et lors de la même période de l’année précédente, qui n’ont pas changé de code NAF et dont l’établissement principal n’a pas changé de département entre ces deux périodes. Les évolutions sont calculées en glissement annuel (une période par rapport à la même période de l’année précédente) et corrigées des jours ouvrés.

Les entreprises dont le CA mensuel ou trimestriel dépasse 3 fois l’écart-type du CA mensuel ou trimestriel moyen des entreprises du même secteur d’activité (niveau 1 – sections) ont été écartées de l’analyse. Les entreprises réalisant un chiffre d’affaires annuel supérieur à 50 millions d’euros sont également écartées de l’échantillon analysé.

Afin de prendre en compte encore plus finement les impacts de la crise sanitaire, les mesures de restriction et le confinement, certains filtres ont pu être désactivés, notamment ceux excluant les entreprises dont le CA était à 0 sur les périodes analysées ou cumulant au moins la moitié de leurs déclarations à 0 sur la dernière année. Certaines déclarations à néant réalisées lors des mois de confinement, de restriction ou lors du mois de juillet ont pu être prises en compte afin de rendre compte de la réalité de l’activité des entreprises.

L’indice de chiffre d’affaires (ICA) mesure l’évolution du CA moyen par entreprise entre une période (ici un trimestre) et la même période de l’année précédente, avec correction des jours ouvrés. L’ICA est affiché dans les cartes et graphiques en base 100 en N-1. Un ICA de 102,1 signifie une augmentation de 2,1% par rapport à la même période de l’année précédente.

Effet de base : un effet de base peut survenir lorsque l’évolution d’une variable entre N et N-1 varie non pas en raison d’une variation du niveau de la variable entre ces deux dates, mais principalement en raison de l’évolution antérieure (entre N-1 et N-2). À titre d’exemple, si une entreprise a subi une forte baisse d’activité entre N-1 et N-2, alors il y a plus de chance que l’évolution soit positive entre N et N-1.

L’indice de chiffre d’affaires cumulé (ICAC) mesure l’évolution du CA moyen par entreprise de la période du 1er trimestre de l’année N au dernier trimestre présenté de l’année N, par rapport au CA moyen par entreprise de la même période de l’année N-1, avec correction des jours ouvrés. L’ICAC est affiché en évolution en % dans les graphiques.

Les secteurs correspondent à la nomenclature d’activités française NAF rév. 2, 2008 (édition 2015)

  • Niveau 1 (sections), soit 21 secteurs.
  • Niveau 5 (sous-classes), soit 732 secteurs.

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