IMAGE PME : 3e trimestre 2025

Votre cabinet vous présente les résultats de l’Observatoire Image PME pour le 3ᵉ trimestre 2025 en Occitanie, publié par l’Ordre des Experts-Comptables.

L'analyse de l'évolution trimestrielle de l'activité des TPE-PME

  • Au 3e trimestre 2025, l’indice de chiffre d’affaires (ICA) des 62 000 TPE-PME d’Occitanie de notre échantillon indique une légère diminution de CA de 0,1% en valeur par rapport au 3e trimestre 2024. Ce résultat est la conséquence d’une hausse lors des mois de juillet et août suivie d’une baisse en septembre. Il s’agit du huitième trimestre consécutif de recul de l’activité pour les structures de l’échantillon. L’indice de chiffre d’affaires cumulé (ICAC) révèle, quant à lui, une baisse de CA de 0,6% depuis le début de l’année. Cette performance place les TPE-PME d’Occitanie au 7e rang du classement national avec un résultat supérieur de 0,2 point à la moyenne française (-0,3%). Selon l’étude de défaillances Altares, l’été 2025 se conclut avec un record de procédures collectives, lié à un mois de septembre particulièrement difficile. En Occitanie, le nombre de défaillances a progressé de 5% en glissement annuel au 3e trimestre 2025.
  • Il convient également de noter que les résultats présentés dans cette analyse ne sont pas corrigés de l’inflation qui a progressé significativement depuis la fin de l’année 2021. En effet, selon les résultats de l’INSEE, l’indice des prix à la consommation a augmenté de 1,2% en septembre 2025 sur les 12 derniers mois. Le taux d’inflation tend donc à repartir à la hausse. Cette évolution s’explique par une nette accélération des prix des services et de l’alimentation.

-0,6 %

de baisse cumulée de CA
sur la période du 1er au 3e
trimestre 2025 par rapport
à la période du 1er au 3e
trimestre 2024

La carte de la région

Classement des régions selon l'ICA

*L’indice de chiffre d’affaires (ICA) mesure l’évolution du CA moyen entre une période (ici un trimestre) et la même période de l’année précédente, avec correction des jours ouvrés. **L’indice de chiffre d’affaires cumulé (ICAC) mesure l’évolution du CA moyen de la période du 1er trimestre de l’année N au dernier trimestre présenté de l’année N, par rapport au CA moyen de la même période de l’année N-1, avec correction des jours ouvrés.

L'évolution de l'activité par secteur

Boulangerie et boulangerie-pâtisserie (10.71C)​

Les TPE-PME de boulangerie-pâtisserie de notre échantillon poursuivent leur croissance de CA : +1,6% en valeur au 3e trimestre 2025 comparativement au 3e trimestre 2024. En cumulé depuis le début d’année, elles affichent une hausse de 0,8%. En revanche, les boulangeries-pâtisseries sont confrontées à une concurrence accrue des chaînes industrielles. Cette pression entraîne la fermeture d’un quart des établissements avant cinq ans, surtout en zone rurale, selon le cabinet Strateg’eat. L’enseigne Ange, par exemple, prévoit d’atteindre 300 points de vente en 2025. Dans ce contexte, les boulangeries-pâtisseries misent sur de nouveaux leviers de croissance : la montée en gamme avec des pains spéciaux, qui représentent désormais 40 % des ventes, mais aussi le développement d’une offre de snacking maison (plats préparés, boissons chaudes…). Malgré l’attachement des Français à leur boulangerie artisanale – 72% s’y rendent régulièrement – l’évolution des habitudes, en particulier chez les jeunes, moins consommateurs de baguettes, pourrait accentuer les difficultés du secteur.

+0,8 %

de hausse cumulée de CA sur
la période du 1er au 3e
trimestre 2025 par rapport à
la période du 1er au 3e
trimestre 2024

Construction (F)

Le CA des TPE-PME de la construction de l’échantillon poursuit sa diminution avec un léger recul de 1% en valeur au 3e trimestre 2025. En cumulé depuis le début d’année, les entreprises du secteur affichent une baisse de CA de 3%. Selon la Capeb, l’activité de l’artisanat du bâtiment poursuit son recul au 3e trimestre 2025 : -3,5% en volume après -4,5% au trimestre précédent. En construction neuve, le repli est toujours le plus significatif bien que son rythme ralentisse (-6% après -9%). De même, la trajectoire se dégrade pour l’entretien-amélioration et pour la rénovation énergétique : -1,5% comme au trimestre précédent. Toutefois, selon la note d’octobre 2025 de la FFB, le logement neuf confirme sa reprise. En effet, les mises en chantiers et les permis de construire progressent respectivement de 17,5% et 28,7% en glissement annuel sur 3 mois à fin août, portés par l’individuel et le collectif. Le non résidentiel neuf, quant à lui, demeure atone.

-3 %

de baisse cumulée de CA sur la
période du 1er au 3e trimestre
2025 par rapport à la période
du 1er au 3e trimestre 2024

Travaux de maçonnerie générale et gros oeuvre de bâtiment (43.99C)

Après sept trimestres consécutifs de recul d’activité, les entreprises de maçonnerie de l’échantillon voient leur CA repartir à la hausse : +0,5% en valeur lors du 3e trimestre 2025 comparativement au 3e trimestre 2024. En cumulé depuis le début d’année, la baisse du CA atteint 2,6%. La Capeb confirme les difficultés dans sa note de conjoncture du 3e trimestre 2025, avec une baisse de l’activité en volume de 4% après -5% au trimestre précédent. Cependant, selon le rapport Altares du 3e trimestre 2025, les entreprises du gros œuvre affichent une baisse du taux de défaillance de 4% sur un an.

-2,6 %

de baisse cumulée de CA sur la
période du 1er au 2e trimestre
2025 par rapport à la période
du 1er au 2e trimestre 2024

Commerce de voitures et de véhicules automobiles légers (45.11Z)

Les commerces de voitures et véhicules légers de notre échantillon affichent un quatrième trimestre consécutif de recul de CA : -5,6% en valeur au 3e trimestre 2025. En cumulé depuis le début d’année, les entreprises du secteur enregistrent une diminution de 5,1%. Selon le rapport de la Plateforme automobile (PFA) à partir des données compilées par AAA Data, les immatriculations de voitures particulières neuves ont progressé de 1% en septembre 2025 par rapport à septembre 2024, mais ont reculé de façon prononcée (-6,3%) entre janvier et septembre 2025. Toutefois, la hausse de septembre s’explique par le jour ouvré supplémentaire en 2025. Si l’hybride demeure majoritaire, les voitures électriques représentent 22% des immatriculations en septembre contre seulement 3% pour les motorisations thermiques. Dans le même temps, la forte augmentation du prix moyen des voitures neuves – +40% entre 2018 et 2024 selon l’étude annuelle du club automobile Roole – incite les automobilistes à se tourner vers le marché d’occasion, dont les ventes ont progressé de 5,3% en septembre.

-5,1 %

de baisse cumulée de CA sur la
période du 1er au 3e trimestre
2025 par rapport à la période
du 1er au 3e trimestre 2024

Entretien et réparation de véhicules automobiles légers (45.20A)

Après la baisse d’activité du précédent trimestre, les TPE-PME d’entretien et réparation de véhicules automobiles légers de l’échantillon voient leur CA stagner sur le 3e trimestre 2025 par rapport au 3e trimestre 2024. En cumulé depuis le début d’année, elles affichent un repli de 2,2%. Si la fréquentation des garages automobiles continue de reculer depuis le début d’année, l’activité des mois de juillet et août a été soutenue par la préparation des véhicules avant les départs en vacances. De plus, le secteur bénéficie du vieillissement du parc automobile, dont l’âge moyen atteint 11,5 ans au 1er janvier 2025 contre 10,2 ans au 1er janvier 2018, les véhicules plus anciens générant davantage de coûts de réparation. Autre signe encourageant pour le secteur : les postes non pourvus ont reculé de 15% tandis que les recrutements ont progressé de 20% en 2024 par rapport à 2022, selon l’Observatoire des métiers des services de l’automobile. Toutefois, selon Altares, les défaillances d’entreprises du secteur ont augmenté de 8% au 3e trimestre 2025.

-2,2 %

de baisse cumulée de CA sur la
période du 1er au 3e trimestre
2025 par rapport à la période
du 1er au 3e trimestre 2024

Commerce de détail de produits pharmaceutiques en magasin spécialisé (47.73Z)

Les pharmacies de l’échantillon affichent un nouveau trimestre de croissance : +4% en valeur lors du 3e trimestre 2025 et +4,5% en cumulé depuis le début d’année. Selon l’Observatoire Fiducial, le chiffre d’affaires moyen a progressé de 7,8% en 2024, soutenu par la hausse des prix des médicaments, l’élargissement des missions de santé publique (vaccination, dépistage, accompagnement santé) et la reprise des services complémentaires après le recul de l’année précédente. Toutefois, le poids de la marge brute recule, principalement en raison de la hausse des médicaments coûteux dans les prescriptions. Pour soutenir leur rentabilité, les pharmacies peuvent développer des services annexes et complémentaires (parapharmacie, prévention, nutrition, téléconsultation) et investir dans la digitalisation et l’automatisation de la gestion des commandes et de la logistique. Les partenariats et mutualisations, comme les achats groupés ou les centrales d’achat, constituent également un levier pour réduire les coûts d’achat et d’approvisionnement.

+4,5 %

de hausse cumulée de CA sur
la période du 1er au 3e
trimestre 2025 par rapport à
la période du 1er au 3e
trimestre 2024

Transports et entreposage (H)

Les TPE-PME de transports et entreposage de notre échantillon affichent un second trimestre consécutif de recul de CA : -1,1% en valeur au 3e trimestre 2025. En cumulé depuis le début d’année, les entreprises du secteur voient leur activité légèrement augmenter de 0,5%. Selon la Fédération nationale du transport routier (FNTR), l’activité du secteur se stabilise au 3e trimestre 2025. Si le cycle de repli s’interrompt, le niveau d’activité reste toutefois inférieur à la moyenne de long terme. Quant aux investissements, ils demeurent contenus à un niveau minimal et concentrés sur le renouvellement du parc de véhicules, sans véritable reprise de l’investissement de croissance. La FNTR note néanmoins que les effectifs de conducteurs progressent légèrement tandis que les difficultés de recrutement diminuent nettement. Autre indicateur positif, les défaillances d’entreprises du transport routier de marchandises ont reculé de 15% au 3e trimestre 2025, selon le cabinet Altares.

+0,5 %

de hausse cumulée de CA sur
la période du 1er au 3e
trimestre 2025 par rapport à
la période du 1er au 3e
trimestre 2024

Hébergement et restauration (I)

Les structures d’hébergement et restauration de l’échantillon voient leur CA reculer de 3% au 3e trimestre 2025 par rapport au 3e trimestre 2024, soit un sixième trimestre consécutif de diminution d’activité. En cumulé depuis le début d’année, la baisse du CA atteint 4%. Selon le rapport Altares du 3e trimestre, la hausse des défaillances se poursuit pour le secteur de la restauration en France (+2% sur le 3e trimestre 2025), tandis que le taux de défaillance du secteur de l’hébergement est resté stable sur la même période. De fait, selon Rydge Conseil, les perspectives sont positives pour le marché hôtelier pour les sept premiers mois de 2025. Le nombre de nuitées hôtelières est en progression et atteint 123 millions contre 199 millions en 2024, grâce à la présence de la clientèle internationale. De leur côté, les restaurants souffrent toujours de la baisse de fréquentation des établissements et de la concurrence accrue des boulangeries et de la grande distribution selon l’UMIH (Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie).

-4 %

de baisse cumulée de CA sur la
période du 1er au 3e trimestre
2025 par rapport à la période
du 1er au 3e trimestre 2024

Restauration traditionnelle (56.10A)

Les restaurants traditionnels de l’échantillon voient leur activité poursuivre son recul : -5% au 3e trimestre 2025 en glissement annuel. En cumulé depuis le début d’année, ils affichent une baisse de CA de 5,6%. Selon Altares, le taux de défaillance des restaurants traditionnels en France a augmenté de 9% au 3e trimestre 2025 en raison de la baisse de fréquentation des restaurants et de l’intensité accrue de la concurrence des circuits alternatifs (boulangeries, coffee-shops…), fragilisant de nombreux établissements. En effet, 61% des Français ont réduit leur niveau de restauration en 2025 en raison de la contraction du pouvoir d’achat, selon l’Insee. D’après l’UMIH, la fréquentation estivale des restaurants a diminué de 15 à 20% depuis le mois de juillet 2025. La restauration reste néanmoins attractive pour de nombreux entrepreneurs en misant sur l’expérientiel, les leviers d’attractivité et le digital comme les logiciels de caisse fournissant toutes les données nécessaires (évolution des ventes, les pics de fréquentation, etc.).

-5,6 %

de baisse cumulée de CA sur la
période du 1er au 3e trimestre
2025 par rapport à la période
du 1er au 3e trimestre 2024

Restauration de type rapide (56.10C)

Les restaurants de type de rapide de notre échantillon affichent une baisse de CA de 4% en valeur au 3e trimestre 2025. En cumulé depuis le début d’année, les TPE-PME du secteur enregistrent une diminution de CA de 5,6%. Dans un contexte d’arbitrage budgétaire, la restauration rapide reste résiliente face à la restauration traditionnelle grâce à ses prix attractifs. Selon Altares, les défaillances des restaurants rapides reculent de 5% sur le 3e trimestre 2025. Cependant, selon la 15e édition du Congrès du Snacking, dans un contexte inflationniste persistant, la restauration rapide reste confrontée au repli de la fréquentation et du panier moyen ainsi qu’à l’évolution perpétuelle des tendances de consommation (télétravail, engagement environnemental, sensibilisation à la santé, etc.). Les restaurants rapides devront adopter des solutions technologiques avancées telles que les applications mobiles, les bornes de commande interactives, l’intelligence artificielle dans la gestion pour l’analyse des données de vente ou les outils d’analyse de coûts de matières premières.

-5,6 %

de baisse cumulée de CA sur la
période du 1er au 3e trimestre
2025 par rapport à la période
du 1er au 3e trimestre 2024

Agences immobilières (68.31Z)

Avec un effet de base favorable, l’activité des agences immobilières de l’échantillon enregistre une croissance lors du 3e trimestre 2025 : +4,4% en valeur comparativement au 3e trimestre 2024. En cumulé depuis le début d’année, la hausse est de 7,3%. Selon le site Meilleurs Agents, le volume des ventes devrait progresser de 8,2% en 2025 au niveau national. Du côté des prix, après trois années de baisse, la situation se stabilise : l’Indice des Prix de l’Immobilier affiche une hausse contenue de 0,8% sur un an. Quant au marché locatif, il reste sous tension, en raison de l’attentisme des ménages face à l’achat immobilier. Après une forte hausse des loyers s’élevant à 4,2% en 2024, celle-ci se limite à 1,5% en 2025. Selon l’Observatoire Crédit Logement, les taux moyens des crédits se stabilisent à 3,09% en moyenne au 3e trimestre 2025, en léger recul après 3,16% au 1er trimestre. Quant au nombre de prêts, il progresse de 46,1% au 3e trimestre, sur 12 mois glissants. Enfin, selon Altares, les défaillances d’entreprises ont reculé de 12% sur le trimestre.

+7,3 %

de hausse cumulée de CA sur
la période du 1er au 3e
trimestre 2025 par rapport à
la période du 1er au 3e
trimestre 2024

Coiffure (96.02A)

Les entreprises de coiffure de l’échantillon voient leur CA quasiment stagner : -0,4% en valeur au 3e trimestre 2025 en glissement annuel et en cumulé depuis le début d’année. Si le ticket moyen progresse, passant de 38,2€ en 2023 à 40,4€ en 2024, la hausse des coûts, notamment de l’énergie, continue de peser sur les marges, selon l’Observatoire Fiducial. Dans le même temps, un arbitrage des dépenses lié à l’inflation conduit les clients à espacer leurs visites. Ce contexte freine également le rythme des investissements : les salons reportent leurs projets de modernisation ou d’extension et limitent le renouvellement de leur matériel ou de leurs aménagements haut de gamme. Autre signe de tension : les défaillances d’entreprise ont progressé de 7% au 3e trimestre 2025, selon Altares. Face à ces difficultés, les entreprises de coiffure cherchent à se réinventer en diversifiant leurs prestations : près de 88% des salons proposent désormais une offre mixte (coupes, couleur, services complémentaires…).

-0,4 %

de baisse cumulée de CA sur la
période du 1er au 3e trimestre
2025 par rapport à la période
du 1er au 3e trimestre 2024

Sources & méthodologie​

Les données proviennent de la base de données Statexpert, construite à partir des télédéclarations sociales et fiscales réalisées par les experts-comptables pour le compte de leurs clients, les TPE-PME. Les données présentées ici sont issues des informations provenant des déclarations mensuelles et trimestrielles de TVA (EDI-TVA). Il s’agit du chiffre d’affaires (CA) déclaré par les entreprises sur les déclarations de TVA des périodes concernées.

Les données trimestrielles sont basées sur un échantillon d’environ 63 000 entreprises au niveau régional. Les données ont été calculées sur un périmètre d’entreprises présentes lors d’une période analysée et lors de la même période de l’année précédente, qui n’ont pas changé de code NAF et dont l’établissement principal n’a pas changé de département entre ces deux périodes. Les évolutions sont calculées en glissement annuel (une période par rapport à la même période de l’année précédente) et corrigées des jours ouvrés.

Les entreprises dont le CA mensuel ou trimestriel dépasse 3 fois l’écart-type du CA mensuel ou trimestriel moyen des entreprises du même secteur d’activité (niveau 1 – sections) ont été écartées de l’analyse. Les entreprises réalisant un chiffre d’affaires annuel supérieur à 50 millions d’euros sont également écartées de l’échantillon analysé.

Afin de prendre en compte encore plus finement les impacts de la crise sanitaire, les mesures de restriction et le confinement, certains filtres ont pu être désactivés, notamment ceux excluant les entreprises dont le CA était à 0 sur les périodes analysées ou cumulant au moins la moitié de leurs déclarations à 0 sur la dernière année. Certaines déclarations à néant, notamment celles réalisées lors du mois de juillet ont pu être prises en compte afin de rendre compte de la réalité de l’activité des entreprises.

L’indice de chiffre d’affaires (ICA) mesure l’évolution du CA moyen entre une période (ici un trimestre) et la même période de l’année précédente, avec correction des jours ouvrés. L’ICA est affiché dans les cartes et graphiques en base 100 en N-1. Un ICA de 102,1 signifie une augmentation de 2,1% par rapport à la même période de l’année précédente.

Effet de base : un effet de base peut survenir lorsque l’évolution d’une variable entre N et N-1 varie non pas en raison d’une variation du niveau de la variable entre ces deux dates, mais principalement en raison de l’évolution antérieure (entre N-1 et N-2). À titre d’exemple, si une entreprise a subi une forte baisse d’activité entre N-1 et N-2, alors il y a plus de chance que l’évolution soit positive entre N et N-1.

L’indice de chiffre d’affaires cumulé (ICAC) mesure l’évolution du CA moyen de la période du 1er trimestre de l’année N au dernier trimestre présenté de l’année N, par rapport au CA moyen de la même période de l’année N-1, avec correction des jours ouvrés. L’ICAC est affiché en évolution en % dans les graphiques.

Les secteurs correspondent à la nomenclature d’activitésfrançaise NAF rév. 2, 2008 (édition 2015)

  • Niveau 1 (sections), soit 21 secteurs.
  • Niveau 5 (sous-classes), soit 732 secteurs.

Pour en savoir plus sur l’actualité et les spécificités économiques, financières, juridiques, comptables, fiscales et sociales, consultez les analyses sectorielles sur www.bibliordre.fr

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