IMAGE PME : 2e trimestre 2025

Votre cabinet vous présente les résultats de l’Observatoire Image PME pour le 2ᵉ trimestre 2025 en Occitanie, publié par l’Ordre des Experts-Comptables.

L'analyse de l'évolution trimestrielle de l'activité des TPE-PME

  • Au 2e trimestre 2025, l’indice de chiffre d’affaires (ICA) des 62 000 TPE-PME d’Occitanie de notre échantillon indique une diminution de CA de 1,5% en valeur par rapport au 2e trimestre 2024. Il s’agit du septième trimestre consécutif de recul de l’activité pour les entreprises de l’échantillon. L’indice de chiffre d’affaires cumulé (ICAC) révèle, quant à lui, une baisse de CA de 0,9% depuis le début de l’année. Cette performance place les TPE-PME d’Occitanie au 6e rang du classement national avec un résultat supérieur de 0,5 point à la moyenne française (-2%).
  • Il convient également de noter que les résultats présentés dans cette analyse ne sont pas corrigés de l’inflation qui a progressé significativement depuis la fin de l’année 2021. En effet, selon les résultats de l’INSEE, l’indice des prix à la consommation a augmenté de 1% en juin 2025 sur les 12 derniers mois. Le taux d’inflation tend donc à repartir à la hausse. Cette légère augmentation s’explique par les accélérations des prix des services ainsi que par celles, dans une moindre mesure, des prix de l’alimentation.

-0,9 %

de baisse cumulée de CA
sur la période du 1er au 2e
trimestre 2025 par rapport
à la période du 1er au 2e
trimestre 2024

La carte de la région

Classement des régions selon l'ICA

*L’indice de chiffre d’affaires (ICA) mesure l’évolution du CA moyen entre une période (ici un trimestre) et la même période de l’année précédente, avec correction des jours ouvrés. **L’indice de chiffre d’affaires cumulé (ICAC) mesure l’évolution du CA moyen de la période du 1er trimestre de l’année N au dernier trimestre présenté de l’année N, par rapport au CA moyen de la même période de l’année N-1, avec correction des jours ouvrés.

L'évolution de l'activité par secteur

Boulangerie et boulangerie-pâtisserie (10.71C)​

Les TPE-PME de boulangerie-pâtisserie de notre échantillon enregistrent une hausse de CA de 1,5% (en valeur) au 2e trimestre 2025 comparativement au 2e trimestre 2024. En cumulé depuis le début d’année, elles affichent également une progression de 1,5%. Les boulangeries-pâtisseries font face à la multiplication des chaînes industrielles, implantées notamment près des ronds-points et des zones commerciales. Ces enseignes proposent des prix compétitifs, ce qui fragilise les boulangeries traditionnelles situées dans les centres-villes. L’enseigne Marie Blachère, par exemple, prévoit l’ouverture de 70 nouveaux points de vente cette année. Dans ce contexte, les boulangeries-pâtisseries recherchent de nouveaux relais de croissance en diversifiant leur offre avec des produits comme les salades, les sandwichs, les cafés ou les plats préparés. De plus, les boulangeries restent confrontées à la hausse des coûts de l’énergie et des matières premières, ce qui les conduit à adapter leurs recettes dans l’objectif de réduire l’usage de certains ingrédients onéreux.

+1,5 %

de hausse cumulée de CA sur
la période du 1er au 2e
trimestre 2025 par rapport à
la période du 1er au 2e
trimestre 2024

Construction (F)

Le CA des TPE-PME de la construction de l’échantillon poursuit sa diminution avec un recul de 4,8% au 2e trimestre 2025. En cumulé depuis le début d’année, les entreprises du secteur affichent une baisse de 4,1%. Selon la note d’août 2025 de la FFB, les tendances du logement neuf demeurent contrastées en raison de la stagnation des mises en chantier tandis que les permis de construire poursuivent leur progression (+24,4%), portée par le collectif grâce au plan de relance d’Action Logement/CDC Habitat. Les ventes dans l’individuel s’envolent mais partent de leur plancher historique. En revanche, les ventes des promoteurs aux particuliers, pénalisées par la fin du dispositif Pinel, se replient. Le non résidentiel neuf peine à se redresser. De même, la baisse d’activité en entretien-amélioration touche aussi bien le logement que le non résidentiel qui conserve, toutefois, sa belle dynamique en rénovation énergétique. Parallèlement, le niveau d’embauche recule dans le secteur du bâtiment sur le premier semestre 2025 selon l’U2P et la baisse devrait se poursuivre au 2e semestre.

-4,1 %

de baisse cumulée de CA sur la
période du 1er au 2e trimestre
2025 par rapport à la période
du 1er au 2e trimestre 2024

Travaux de maçonnerie générale et gros oeuvre de bâtiment (43.99C)

Les difficultés persistent pour les entreprises de maçonnerie avec un repli de 3,5% en valeur lors du 2e trimestre 2025 comparativement au 2e trimestre 2024. En cumulé depuis le début d’année, la baisse du CA atteint 2,5%. Selon le rapport Altares du 2e trimestre 2025, les structures du secteur affichent une baisse des défaillances de 7,2% sur un an. La Capeb confirme les difficultés dans sa note de conjoncture du 2e trimestre 2025, avec une baisse de l’activité en volume de 5% après -6,5% au trimestre précédent.

-2,5 %

de baisse cumulée de CA sur la
période du 1er au 2e trimestre
2025 par rapport à la période
du 1er au 2e trimestre 2024

Commerce de voitures et de véhicules automobiles légers (45.11Z)

Les commerces de voitures et véhicules légers de notre échantillon affichent un troisième trimestre consécutif de recul de CA : -6% en valeur au 2e trimestre 2025. En cumulé depuis le début d’année, les entreprises du secteur enregistrent une diminution de 3,6%. Selon le dernier rapport de la Plateforme automobile (PFA) à partir des données compilées par AAA Data, les immatriculations de voitures particulières neuves ont reculé de 7,9% entre janvier et juin 2025 par rapport à la même période de l’année précédente. Si les motorisations hybrides affichent des résultats très positifs (+13% dans leur ensemble), les immatriculations électriques reculent (-3%). Toutefois, la revalorisation du bonus écologique depuis le 1er juillet devrait participer à relancer le marché des véhicules électriques. Dans le même temps, les tensions persistantes sur le pouvoir d’achat des ménages soutiennent le marché de l’occasion, avec une progression de 0,9% des ventes au premier semestre 2025. De plus, selon Altares, les défaillances ont progressé de 12% au 2e trimestre 2025.

-3,6 %

de baisse cumulée de CA sur la
période du 1er au 2e trimestre
2025 par rapport à la période
du 1er au 2e trimestre 2024

Entretien et réparation de véhicules automobiles légers (45.20A)

Les TPE-PME d’entretien et réparation de véhicules automobiles légers de l’échantillon affichent recul de CA (-3,5% en valeur par rapport au 2e trimestre 2024). En cumulé depuis le début d’année, elles affichent une diminution de 2,2%. Selon le baromètre d’idGarages.com, les prix de la réparation automobile ont continué d’augmenter en 2025, +6,7% en moyenne sur un an, après +7,6% en 2024. La hausse des tarifs concerne les prestations les plus techniques pour lesquelles le coût des pièces est élevé et les temps d’intervention plus longs, comme le freinage (+11,1%) ou la courroie (+12,2%). En parallèle, face à une baisse des entrées en atelier (-8% au 1er trimestre 2025), les garages adaptent leur stratégie en réduisant les tarifs des prestations rapides afin d’attirer davantage de clients. Face à ces hausses des tarifs, de plus en plus d’automobilistes comparent les tarifs, attendent les promotions, voire se tournent vers le “do it yourself“, réalisant eux-mêmes leurs réparations automobiles grâce à des tutos, afin de limiter leurs dépenses d’entretien.

-2,2 %

de baisse cumulée de CA sur la
période du 1er au 2e trimestre
2025 par rapport à la période
du 1er au 2e trimestre 2024

Commerce de détail de produits pharmaceutiques en magasin spécialisé (47.73Z)

Les pharmacies de l’échantillon affichent un nouveau trimestre de croissance : +4,3% en valeur lors du 2e trimestre 2025 et +4,4% en cumulé depuis le début d’année. Selon les données du réseau d’experts-comptables CGP, les pharmacies ont enregistré une croissance de leur chiffre d’affaires comprise entre 3% et 5% au cours des cinq premiers mois de l’année 2025. Cette hausse est portée par la progression des médicaments coûteux, qui représentent désormais 42% du chiffre d’affaires des médicaments remboursables, avec une augmentation de 14% sur un an. Dans le même temps, les volumes de dispensation reculent, entraînant une baisse de 1,9% des honoraires associés. Si la marge progresse en euros, elle demeure insuffisante pour compenser l’augmentation des charges. Par ailleurs, une réforme portant sur la délivrance des médicaments génériques, visant à plafonner les remises accordées par les laboratoires aux pharmacies entre 20% et 25% (contre des niveaux pouvant atteindre jusqu’à 40% aujourd’hui), pourrait fragiliser davantage la rentabilité des officines.

+4,4 %

de hausse cumulée de CA sur
la période du 1er au 2e
trimestre 2025 par rapport à
la période du 1er au 2e
trimestre 2024

Transports et entreposage (H)

Après la hausse du précédent trimestre, les TPE-PME de transport et entreposage de notre échantillon affichent un recul de CA de 2,3% en valeur au 2e trimestre 2025. En cumulé depuis le début d’année, les entreprises du secteur voient leur activité croître de 1%. Selon la Fédération nationale du transport routier, les chefs d’entreprise constatent une légère amélioration de leur activité lors du 2e trimestre 2025, bien qu’elle soit toujours considérée à un niveau négatif. La Fédération indique également que les effectifs de conducteurs progressent légèrement et que les difficultés de recrutement reculent. Quant aux investissements, à savoir les renouvellements des parcs, ils stagnent à un niveau bas au 2e trimestre 2025 et restent en deçà de leur niveau moyen. Toutefois, selon le cabinet Altares, les défaillances ont reculé de 3% au 2e trimestre 2025 pour les entreprises du transport routier de marchandises.

+1 %

de hausse cumulée de CA sur
la période du 1er au 2e
trimestre 2025 par rapport à
la période du 1er au 2e
trimestre 2024

Hébergement et restauration (I)

Les structures d’hébergement et restauration de l’échantillon voient leur CA reculer de 4,3% au 2e trimestre 2025 par rapport au 2e trimestre 2024, soit un cinquième trimestre consécutif de diminution d’activité. En cumulé depuis le début d’année, la baisse du CA atteint 5,2%. Ce que confirme la hausse continue du nombre de défaillances du secteur de la restauration (+8,9% sur le 2e trimestre 2025), tandis que le taux de défaillance du secteur d’hébergement a reculé de 19,7% sur la même période d’après Altares. De fait, le marché hôtelier français a enregistré une hausse des revenus par chambre de 2,1% sur le 1er semestre 2025 portée principalement par la hausse des prix alors que le taux d’occupation reste stable. Selon Nielsen IQ, la fréquentation des établissements CHR recule en juin 2025 malgré une météo plus clémente qu’en 2024.

-5,2 %

de baisse cumulée de CA sur la
période du 1er au 2e trimestre
2025 par rapport à la période
du 1er au 2e trimestre 2024

Restauration traditionnelle (56.10A)

Les restaurants traditionnels de l’échantillon poursuivent leur recul d’activité : -7% au 2e trimestre 2025 en glissement annuel. En cumulé depuis le début d’année, ils affichent une baisse de CA de 7,3%. Selon la 22e revue stratégique de Food Service Vision, les restaurants traditionnels souffrent toujours d’une baisse de fréquentation et d’arbitrages de consommation dans un contexte inflationniste persistant. Le ticket moyen progresse sous l’effet de l’inflation. Selon le cabinet comptable Nord Expertise, le secteur de la restauration traditionnelle continue de faire face à plusieurs défis tels que la hausse des coûts des matières premières, les changements d’habitudes de consommation, la durabilité, la pénurie de main d’œuvre et la digitalisation qui obligent les restaurateurs traditionnels à repenser leur offre pour rester compétitifs. Selon Altares, le taux de défaillance des entreprises du secteur a augmenté de 20,6% au 2e trimestre 2025.

-7,3 %

de baisse cumulée de CA sur la
période du 1er au 2e trimestre
2025 par rapport à la période
du 1er au 2e trimestre 2024

Restauration de type rapide (56.10C)

Les restaurants de type de rapide de notre échantillon affichent une baisse de CA de 4,8% en valeur au 2e trimestre 2025 par rapport au 2e trimestre 2024. En cumulé depuis le début d’année, les TPE-PME du secteur enregistrent une diminution de CA de 5,4%. Dans un contexte d’arbitrage budgétaire, la restauration rapide reste résiliente face à la restauration traditionnelle grâce à ses prix attractifs. Selon Altares, les défaillances des restaurants rapides reculent de 3,4% sur le 2e trimestre 2025. Cependant, selon la 15e édition du Congrès du Snacking, dans un contexte inflationniste persistant, la restauration rapide reste confrontée au repli de la fréquentation et du panier moyen ainsi qu’à l’évolution perpétuelle des tendances de consommation (télétravail, engagement environnemental, etc.). Entre les seniors qui prennent goût au snacking (11% des visites en 2025 contre 5% en 2019), la recherche de la rapidité et l’urbanisation accrue, de nouvelles perspectives s’ouvrent aux entreprises du secteur.

-5,4 %

de baisse cumulée de CA sur la
période du 1er au 2e trimestre
2025 par rapport à la période
du 1er au 2e trimestre 2024

Agences immobilières (68.31Z)

Avec un effet de base nettement favorable, l’activité des agences immobilières de l’échantillon enregistre une croissance lors du 2e trimestre 2025 : +3,1% en valeur comparativement au 2e trimestre 2024. En cumulé depuis le début d’année, la hausse est de 9,5%. D’après un article du Journal de l’Agence, la FNAIM prévoit 940 000 transactions pour l’année 2025, soit une hausse de 11% sur un an. De plus, les ventes de logements anciens repartent à la hausse (+2,5% en glissement annuel en avril 2025), après une baisse de 33% en trois ans. Du côté des prix, la baisse amorcée début 2023 ralentit nettement : -0,6% sur un an en juin 2025, contre -3,2% en juin 2024. Quant aux taux de crédit immobilier, selon meilleurtaux.com, ils restent stables en juillet pour le troisième mois consécutif, après une hausse en avril due à l’évolution des taux des OAT à 10 ans. Toutefois, le marché locatif se tend fortement, en raison d’une offre en forte diminution, notamment dans les grandes villes. Par ailleurs, les défaillances d’entreprises ont reculé de 29% au 2e trimestre 2025, d’après Altares.

+9,5 %

de hausse cumulée de CA sur
la période du 1er au 2e
trimestre 2025 par rapport à
la période du 1er au 2e
trimestre 2024

Coiffure (96.02A)

Les entreprises de coiffure de l’échantillon enregistrent un deuxième trimestre consécutif de baisse d’activité : -1,7% en valeur au 2e trimestre 2025 par rapport au 2e trimestre 2024. En cumulé depuis le début d’année, leur CA recule de 1,5%. Dans un contexte inflationniste, elles subissent une augmentation des charges et du coût des matières premières, tandis que la pression sur le pouvoir d’achat incite les clients à réduire la fréquence de leurs visites. De plus, la multiplication des barbershops, qui proposent des coupes pour hommes à bas prix, représente une concurrence grandissante pour les entreprises de coiffure. En parallèle, le secteur fait face à des difficultés persistantes de recrutement et de fidélisation du personnel.

-1,5 %

de baisse cumulée de CA sur le
1er trimestre 2025 par rapport
au 1er trimestre 2024

Sources & méthodologie​

Les données proviennent de la base de données Statexpert, construite à partir des télédéclarations sociales et fiscales réalisées par les experts-comptables pour le compte de leurs clients, les TPE-PME. Les données présentées ici sont issues des informations provenant des déclarations mensuelles et trimestrielles de TVA (EDI-TVA). Il s’agit du chiffre d’affaires (CA) déclaré par les entreprises sur les déclarations de TVA des périodes concernées.

Les données trimestrielles sont basées sur un échantillon d’environ 63 000 entreprises au niveau régional. Les données ont été calculées sur un périmètre d’entreprises présentes lors d’une période analysée et lors de la même période de l’année précédente, qui n’ont pas changé de code NAF et dont l’établissement principal n’a pas changé de département entre ces deux périodes. Les évolutions sont calculées en glissement annuel (une période par rapport à la même période de l’année précédente) et corrigées des jours ouvrés.

Les entreprises dont le CA mensuel ou trimestriel dépasse 3 fois l’écart-type du CA mensuel ou trimestriel moyen des entreprises du même secteur d’activité (niveau 1 – sections) ont été écartées de l’analyse. Les entreprises réalisant un chiffre d’affaires annuel supérieur à 50 millions d’euros sont également écartées de l’échantillon analysé.

Afin de prendre en compte encore plus finement les impacts de la crise sanitaire, les mesures de restriction et le confinement, certains filtres ont pu être désactivés, notamment ceux excluant les entreprises dont le CA était à 0 sur les périodes analysées ou cumulant au moins la moitié de leurs déclarations à 0 sur la dernière année. Certaines déclarations à néant, notamment celles réalisées lors du mois de juillet ont pu être prises en compte afin de rendre compte de la réalité de l’activité des entreprises.

L’indice de chiffre d’affaires (ICA) mesure l’évolution du CA moyen entre une période (ici un trimestre) et la même période de l’année précédente, avec correction des jours ouvrés. L’ICA est affiché dans les cartes et graphiques en base 100 en N-1. Un ICA de 102,1 signifie une augmentation de 2,1% par rapport à la même période de l’année précédente.

Effet de base : un effet de base peut survenir lorsque l’évolution d’une variable entre N et N-1 varie non pas en raison d’une variation du niveau de la variable entre ces deux dates, mais principalement en raison de l’évolution antérieure (entre N-1 et N-2). À titre d’exemple, si une entreprise a subi une forte baisse d’activité entre N-1 et N-2, alors il y a plus de chance que l’évolution soit positive entre N et N-1.

L’indice de chiffre d’affaires cumulé (ICAC) mesure l’évolution du CA moyen de la période du 1er trimestre de l’année N au dernier trimestre présenté de l’année N, par rapport au CA moyen de la même période de l’année N-1, avec correction des jours ouvrés. L’ICAC est affiché en évolution en % dans les graphiques.

Les secteurs correspondent à la nomenclature d’activitésfrançaise NAF rév. 2, 2008 (édition 2015)

  • Niveau 1 (sections), soit 21 secteurs.
  • Niveau 5 (sous-classes), soit 732 secteurs.

Pour en savoir plus sur l’actualité et les spécificités économiques, financières, juridiques, comptables, fiscales et sociales, consultez les analyses sectorielles sur www.bibliordre.fr

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